C’est dans le tortillard qui m’amenait de Vichy à Lyon pour prendre un TGV pour Montpellier où je devais finaliser l’organisation de notre 92^ème congrès que j’ai trouvé l’inspiration pour préparer cet éditorial.
Entre la Fête du Timbre et Montpellier, plusieurs expositions régionales ont mis en avant le dynamisme de nos régions et des associations qui les composent, mais aussi le fruit des recherches de nos adhérents. Que tous soient ici remerciés pour le talent qu’ils déploient au travers de la diversité de ce qu’ils présentent.
Et puis j’ai pensé à notre revue... Et l’inspiration m’est subitement venue.
Cette année a vu la mise à plat de notre système d’abonnement : pas sans mal, il faut bien le dire. Anne-Marie SCHNEIDER et Jean-François DURANCEAU ont mis beaucoup d’énergie pour mettre à jour un fichier qui ne l’avait pas été depuis bien longtemps. C’est chose faite. Certains s’étonnent depuis de ne plus recevoir la revue, pensant que c’était un dû ! C’est fou comme les gens ont de la facilité à réclamer lorsqu’ils ne reçoivent plus alors qu’ils n’ont jamais pensé à se demander si ce qu’il recevait était bien dû !

Le bilan est triste en matière d’abonnements :

• 352 associations dont le président ne paie pas d’abonnement.
• 137 associations n’ont toujours pas retourné leur listing et s’étonneront, comme c’est déjà arrivé, de ne pas recevoir leur bloc : dont 44 abonnés qui ont été rayés des listes et environ 90 présidents qui recevront quand même la revue sans le bloc parce qu’ils sont présidents.

Vingt deux euros c’est le coût annuel d’un abonnement : 1,83 € par mois ! Pour être plus précis il faudrait ramener le coût réel en enlevant le prix du bloc qui est offert aux abonnés payants soit : 6,50 € et là nous sommes à 1,29 € !
Dérisoire par rapport au montant des nouveautés de France et autres achats.
Pourtant ces 352 associations bénéficient largement de la communication que la Fédération leur accorde par l’intermédiaire de la revue, mais aussi de son site et aussi des Correspondants Communication.
La revue a un coût financier mais aussi un coût humain en nombre d’heures de bénévoles, de ceux qui travaillent pour la réaliser et des nombreux rédacteurs qui en sont les principaux animateurs.
Alors, de grâce, réagissez et permettez à votre revue de vivre encore longtemps. Sa qualité est en amélioration permanente. Si toutes les associations avaient au moins un abonné payant : nous pourrions tendre à l’équilibre financier.
A la rentrée nous travaillerons sur la mise en place d’un challenge sur les abonnements. Toutes les idées seront les bienvenues pour nous permettre d’augmenter le nombre d’abonnés.

A vos plumes… Merci par avance.
Bonnes vacances à toutes et à tous.